Une bonne soirée.

Publié le par Cyril De Montessieu

Ca faisait bien longtemps que je n’avais pas fait une soirée en deux temps. Vous savez les soirées où, la première partie est en petit comité, où l’alcool est de mise et la seconde en grand comité où la fête et la drague remplace l’alcool.

 

La première partie est toujours très sage. Même si l’on boit, on en reste pas moins en petit groupe, et se faire remarquer n’est pas forcement la meilleure solution. Mais l’alcool fait son chemin, et il suffit de ne pas boire souvent, pour vite se retrouver un peu gai.

On parle de la vie, de tout et de rien et on se sent bien, car on sait que la deuxième partie de soirée sera joyeuse, folle et entre amis.

 

Puis après, voici le moment où les effets de l’alcool sont à leur paroxysme, et l’on fait subir à notre petit groupe nos élucubrations étranges…

On titube un peu, on sourit à tout le monde, on leur parle même parfois… Et surtout on est ridicule J

On rentre chez soi ensuite car on sait (dans une petite partie de notre cerveau) que l’on doit se préparer ensuite pour sortir.

 

L’alcool commence à redescendre mais qu’importe on est toujours à l’aise dans ses baskets. On se change, on prend des vêtements qui nous permettront de bouger et danser.

On rejoint nos amis dans un bar ou dans un restaurant et on recommence d’autres conversations, d’autres attitudes. Puis on finit la nuit en discothèque.

 

On se sent si bien qu’on arrive même à attirer les regards d’hommes qui nous entourent, et voir même on se fait « dragouiller ».

La soirée est agréable, vivante et saine. On discute un peu dans le creux de l’oreille de l’autre car les boums boums musicaux nous empêchent de nous faire entendre autrement. Et surtout on danse tous ensemble, on rit et on s’amuse.

 

Et là, on ne saurais dire pourquoi, la confiance que l’on a de nous est à son sommet, son point culminant. Est-ce du à l’alcool ? Est-ce du à tout ce monde qui nous entoure ?

En tout cas nos batteries sont rechargées à bloc et notre estime de nous aussi..

 

Puis vient le  moment où il se fait tard, où la fatigue nous gagne. On est tellement atteint de cette bonne fatigue, qu’il nous faut maintenant rejoindre Morphée pour lui conter notre soirée, revivre les moment forts, et dormir en souriant.

Publié dans Toutes les chroniques

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